Vidéo – Vincent Archimbaud, head of wholesale Europe chez Tikehau Capital, était l’invité du Petit-Déjeuner de l’Asset le 19 mars dernier. Retour en images sur cet événement organisé par News Asset Pro et le Cercle LAB. Avec en bonus une recommandation littéraire et une playlist musicale.
Organisés par News Asset Pro et le Cercle LAB, les Petits-Déjeuners de l’Asset ont poursuivi leur saison 2025 le 19 mars dernier en recevant Vincent Archimbaud, head of wholesale Europe chez Tikehau Capital. L’occasion d’évoquer avec l’ensemble des participants la stratégie de développement de l’asset manager dont les encours totaux avoisinent désormais les 50 milliards d’euros et plusieurs sujets de Place.
À l’issue de cette rencontre, notre invité a rappelé face à notre caméra quelques « key facts » sur Tikehau Capital, a partagé ses impressions sur l’exercice auquel il s’est livré, et a adressé une questions au prochain invité des Petits-Déjeuners de l’Asset : Avidan Geissmann. Le directeur distribution & partenariats de Seven2 (ex-Apax Partners) s’installera à la table du Onze (by Seroni) le 29 avril prochain. La billetterie est ouverte.
Si les discussions des Petits-Déjeuners de l’Asset sont 100% « off the record », celles et ceux qui n’y étaient pas peuvent tout de même découvrir un portrait personnel et professionnel de Vincent Archimbaud dans nos colonnes. Ainsi qu’une playlist musicale concoctée par ce dernier et une recommandation littéraire apportant une nouvelle pierre à la construction de notre Bibliothèque de l’Asset.
Sa recommandation littéraire
Le piège américain, Frédéric Pierucci et Matthieu Aron. JCLattès (2019)
Qui le sait ? Depuis la fin 2014 la France a perdu une partie du contrôle de ses centrales nucléaires au profit des Américains. Je m’appelle Frédéric Pierucci et je me suis retrouvé, bien malgré moi, au cœur de ce scandale d’État. Ancien patron d’une des filiales d’Alstom, je connais les dessous de ce thriller à 12 milliards de dollars. Après avoir été longtemps contraint au silence, j’ai décidé, avec le journaliste Matthieu Aron, de les révéler.
En avril 2013, j’ai été arrêté à New York par le FBI et poursuivi pour une affaire de corruption. Je n’ai pas touché un centime dans cette transaction, mais les autorités américaines m’ont enfermé pendant plus de deux ans – dont quatorze mois dans une prison de très haute sécurité. Un véritable chantage pour obliger Alstom à payer la plus gigantesque amende jamais infligée par les États-Unis, et à se vendre à General Electric, son grand concurrent américain.